|
| | I was born: made of gunpowder and exit wounds |
|
Elijah Kovacs LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
| I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 15:27 | |
| L'avatar que je tente: - Code:
-
<l><resa>daniel sharman |</resa> elijah kovacs <ii>(29/11)</ii></l> |
| | |
Elijah Kovacs LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 15:27 | |
| We’re killers. Divinity isn’t kind. mouthful of white hot fire, tongue coated in poison, ragged nails painted in my own blood; there’s a hunger in me, something vicious a thirst to be celestial, godly, divine– and yet. On propose à ton personnage de sortir de la ville/du campement pour aller chasser des machines. Il se trouve que les machines perdent des composantes quand on les tuent. Des composantes très précieuses, certaines se revendent à prix d’or sur le marché noir. Qu’en pense ton personnage? Cela faisait maintenant plus de dix ans qu’Elijah avait perdu sa voix. Perdu de cette flamme qui boutait toutes les passions en son être. La colonne vertébrale plus droite qu’un i, pourtant la silhouette toujours voûtée, l’homme était de ces géants de chair. Ceux dont l’existence semblait avoir été annihilée par des réalités plus amères que celles qu’ils avaient rêvé. Clébard à la solde des gardiens de son âme éternelle, il rongeait leur haine avec une férocité aigre. Ravalant le fléau de ses émotions avec toujours plus de difficultés. Elijah était un homme de chair et de sang, pourtant, autrefois marionnette de ses sentiments, il n’était plus que ce qu’on souhaitait de lui. Le sourire affable se fendait trop souvent, le bleu de ses yeux un océans sur lequel rares étaient ceux osaient naviguer. Dans le fond, Elijah était un intouchable, il l’avait toujours été. Quand bien même son rôle au sein du campement était différent, plus louable que celui de ses aînées, le Kovacs restait un Kovacs et personne n’aurait osé poser un doigt sur l’ancien enfant des ruines. Fils des décombres d’une civilisation dont il n’était rien de plus qu’un instrument qu’on attendait de voir se rompre. L’homme n’avait toujours pas cédé, quand bien même la chair au bout de ses phalanges n’était plus qu’une fine pellicule à jamais violentée. Quand bien même son derme portait les cieux violets des erreurs qu’il lui arrivait encore de commettre. Le Kovacs avait été marqué à vie, saigné comme un agneau dont le sacrifice n’avait de valeur qu’à la pesée de ses péchés. Les yeux posés sur la toundra de glace, ces étendues immaculées en lesquelles rien ne semblait pouvoir subsister, rien que les monstruosités enfantées par l’hubris d’une humanité consumée par ses propres démons. Le regard perdu sur l’horizon, l’homme aiguisait sa lame sans trop bien y penser lorsqu’il vit un autre se laisser tomber sans grâce sur le siège à côté de lui. Trop souvent, Elijah était un étranger pour sa communauté. Marginal au silence d’or, rares étaient ceux s’autorisant à contempler l’enfant d’une secte que beaucoup trop craignaient. Deux parents morts, plus que sa chair pour perpétuer une engeance portant déjà son élégiaque suaire, l’homme n’était pas un bon parti. Pour quoi que ce soit. Fanatique aveugle et sourd, il ne gardait d’humain que sa triste vulnérabilité, celle-ci même qu’il consommait avec fébrilité à chaque fois qu’il retournait danser avec la mort. “ T’es le gamin Kovacs?” La question était futile, rien de plus qu’une entrée en matière pour un arriviste déjà repu à l’idée de son prochain larcin. Daignant à peine lever les prunelles sur l’autre et sa silhouette brisée, il focalisa son attention sur la lame déjà bien aiguisée avant de la ranger dans son fourreau. “ Je te parle de ça juste parce que je connaissais tes parents.” Reposant son regard sur l’inconnu, Elijah s’intéressa plus longuement à celui qui s’était invité sans ménagement dans son espace personnel. L’autre était gras, trapu. Il semblait agité, ses mains deux bêtes affolées alors que son regard scannait les alentours avec plus de diligence que ne l’aurait fait celui d’un androïde. Le pari était insensé, la proposition folle. A aucun instant l’homme ne pensait que celui lui faisant face puisse avoir connu ne serait-ce qu’un instant ses parents. Jamais ses parents n’auraient osé s’associer à pareille vilenie, l’intérêt personnel outrepassant celui de la communauté. Eux avec leur droiture rouillée, leurs apprentissages enraillés qu’ils répétaient avec plus de volonté que ne l’avaient fait leurs parents avant eux. Les Kovacs étaient des enfants de la nuit, travaille acharnée à jamais dépendant de la lune. Ils ne connaissaient rien de l’éclat des passions, l’éclat de ces positions terrestres que tant d’autres recherchaient. Les Kovacs avaient dédié leur vie à la Ruche, usé leurs os au point qu’ils ne soient plus que des brindilles refusant de se briser par la simple force de leur esprit. Ils étaient les tristes mystiques d’un sacrifice que peu comprenaient. Intouchables, intouchés, il était une raison primordiale pour laquelle personne n’osait les regarder. Les Kovacs étaient destinés à l’oubli, leur chair rien de plus que la chair de leur communauté. Leur muscles rien de plus que les rouages de la mécanique des machines sustentant la vie ici-bas. Elijah les haïssait pour ça. Il les avait toujours détestés d’avoir osé marquer au fer rouge son front poupin de cette destinée qu’il se devait d’assumer. Il avait toujours méprisé la Ruche et portait encore aujourd’hui en lui cette colère dont la Main l’avait autrefois défaite. Pourtant, jamais le garçon n’aurait pu aller contre le souhait de ses parents. Jamais l’avarice ni le profit personnel n’avait su alimenter son âme. Gamin de rien, fils de personne, il n’était rien de plus qu’une ombre attendant son heure pour s’évanouir comme ses aînés avant lui. Crachant aux pieds de l’étranger, il dévoila ses canines en un sourire carnassier. “ Garde donc tes fables de fortune pour toi, l’ami. Je ne mange pas de ce pain-là. Rends nous donc service à tous les deux, ne reviens jamais me montrer ton visage et tes mensonges.” Son faciès se mua un instant en une peinture chaotique, à croire que ses traits n’étaient plus que courbe salée d’une amertume qu’il peinait à concevoir. Retrouvant l’indifférence lui séant tant, il posa sa main sur son arc alors qu’il songeait aux fabulations venant de lui être présentées. Il n’était pas du devoir du Kovacs de songer, ce dernier suivant avec docilité les choix des dirigeants de la Main. Cependant, il n’aurait hésité pas un instant à accomplir pareil vice au détriment de la communauté si ces derniers lui avaient demandés. → chargement EN COURS/TERMINEWhat is a ghost? Something dead that seems to be alive. Something dead that doesn’t know it’s dead. Enfant venu des profondeurs des entrailles de la Terre, Elijah est le dépositaire d’une histoire appartenant au bien commun. Intouchable indésiré, il est le fruit d’une relation de convenance. Un amour écorné que chacun savait se voir éteint au petit matin. La chair semée du mal de leur génération, les Kovacs se sont relayés pour porter le flambeau d’une humanité tremblant en ses fondations. Sans visages, sans noms, cette famille se perdait dans les mines ouvrières, leurs bleus de travail délavant leur peau au point qu’ils en oublient la fragilité de leur chair. Le gamin était un enfant rêve, le fils des décharnés et de l’espoir. Il portait à même le derme le signe des désespérances de ses aînés. Gamin sacrifié au labeur d’une vie, il n’avait pas quinze ans que ses parents avaient déjà fait le deuil de sa jeunesse. Il n’avait pas dix ans qu’on l’arrachait à l’allégresse de ces douceurs juvéniles. Pas même l’insouciance de ces songes en noir et blanc, il affronta dès l’enfance l’amertume d’une destiné qu’il savait être sienne. Papa était absent, le visage noir de sueur et de cambouis quand maman s’absentait trop souvent, le regard usé de trop contempler ces lumières qui ne leur seraient jamais destinées. Acétiques à la volonté d’acier, les Kovacs ravalaient leur aigreur avec plus de grâce que n’en possédait l’élite. Forçant les lèvres entrouvertes de leur gamin, ils commencèrent tôt à le nourrir de leurs sanglots, leur silence une lame qu’il laissait glisser le long des phalanges en espérant qu’à l’avaler il finirait par dévoiler au monde le néant en son buste. Y avait la vie qui le terrifiait, la mort hantait ses phalanges alors que ses doigts à la chair tendre n’avaient encore jamais rien vu que les murs policé de sa prison. Les plafonds étaient trop bras, les couloirs trop lumineux. Elijah avait du mal à respirer lorsqu’il ne humait pas le musc de son père. Ce mélange nauséeux de sueur et de ces déchets qu’il triait laborieusement. Elijah avait bien souvent le souffle coupé, ses poumons encore frêles pour son âge regrettaient les grands espaces de ces terres dévastés. La nuit il contemplait le ciel, contemplait les barreaux de sa cage et cette tôle froide qui le narguait. Quand bien même il y avait gravé quelques étoiles dont il avait trouvé l’image dans un bouquin, il ne trouvait dans cette vision qu’un répit incertain. Pas même de quoi gonfler son poitrail et offrir à son buste cet air qui venait trop souvent à manquer. Elijah était un gamin frêle, un peu trop rachitique. Trop souvent il se perdait en quinte de toux sous les yeux alarmés de ses parents, ceux-ci l’enjoignant au silence. Ce triste silence qui semblait tout recouvrir en leur foyer. Qui en était venu jusqu’à recouvrir leur souffrance. Le gamin était apôtre parmi les dévots, son linceul le sacre du sacrifice de générations d’autres avant lui. Malgré ses épaules trop étroites, sa silhouette filiforme, ses rêves trop grands, il se devait d’épauler ce costume l’écrasant. Quand bien même il n’était plus même homme une fois en dedans. I was as hollow and empty as the spaces between stars. Le silence était d’or, la clameur un souffle émacié refusant de s’échapper d’entre les lèvres des dévots. Agneau sacrificiel attendant son heure, le Kovacs sentait la main de son père s’agripper à sa chair de peur de voir le gamin s’évaporer à tout instant. Cela faisait des années désormais qu’il attendait ce moment, contemplait son ascension auprès du divin avec une ferveur lui lacérant les entrailles. Eli n’était rien de plus qu’un gamin, dans le crâne de la poussière d’étoiles et au bout des poings rien que cette suie qui semblait ne jamais quitter le derme des membres de sa caste. L’enfant était ombre et lumière, soupire mutique refusant de se consumer à la vue du monde. Il n’était rien de plus qu’un fantôme longeant les murs, ses vêtements troués rappelant aux autres son statut avec plus de diligence que ne le faisait l’écusson barrant son être. Elijah était souffrance, plaie ouverte s’affichant à l’univers dans l’espoir un jour de pouvoir rendre les coups. Quand ses parents supportaient leur condition avec une révérence oblative, le gamin était flamme. L’enfant était feu, brasier ardent attendant l’instant où serait requis de sa personne d’enfin se consumer. Les poings usés à force de frôler les murs, s’écorcher les phalanges à toutes barricades, le brun était fatigué de contempler l’humanité grouiller en sa fange. Il rêvait d’étendue verte, de soleil d’été et de nuits d’hiver. Il rêvait de toutes ces choses auxquelles il n’avait jamais goûté et dont la sève de l’imaginaire lui permettait d’un instant s’y cramer le bout des doigts. L’animal en son poitrail grondait, son rythme erratique s’ébrouant alors que sa mère embrassait la couronne de sa crinière avec une tendresse qu’il ne pourrait jamais oublier. Le gamin avait peur. Le gamin avait froid. Il sentait la fièvre le prendre alors que leurs mains se faisaient suppliques. S’avançant vers l’autel, il ne put s’empêcher de s’ébrouer, alors que leurs mains se faisaient plus nécessiteuses, leurs doigts s’enfonçant en sa chair avec une soif qu’aucun fleuve n’aurait pu étancher. L’espace d’un instant, il se fit fleuve le gamin. Il se fit Atlantique, la glace en son être refusant toute reddition quand bien même le processus long et douloureux l’avait mené jusqu’à cet instant. Jusqu’au sommet de sa propre désespérance, l’erreur primaire de sa personne soudainement affichée à leur congrégation avec une ingénuité qu’il peinait à assumer. Elijah était violence, comme tant d’autres gamins de son étoffe. Il était errance. Il était colère, le magma en ses veines s’enflammant à la moindre bourrasque. Au moindre frôlement de la tôle de son poitrail, le dernier tremblant face à ses supérieurs qu’il méprisait du bas de sa demeure. Le Kovacs était un apôtre, l’oubli pour tout foyer, il portait entre ses côtes la seule chose capable de le faire exister. Pourtant, devant témoin, ses parents l’avaient abandonné au divin, offrant la brebis afin que son sacrifice soit sanctifié. Marquant la brebis afin que son vice soit à jamais canalisé, la honte à jamais gravé en sa chair le rappel douloureux d’une erreur originelle. Une imperfection primaire dont il ne pourrait jamais pleinement se défaire. Si le gamin était entré en la chapelle rien de plus qu’un enfant chétif et tremblant, ce dernier en sortait homme conquis et pourtant conquérant. Le mot barrait son flanc gauche, lettre d’un rouge hurlant au silence : Wrath. His fingers slid across her lips, down the slope of her jaw to wrap around her throat, “There is a dark thing in you,” he whispered, “It brings out the monster in me.” L’errance avait tout arraché au brun. Du souvenir de son père à la chaleur de sa mère, il ne lui restait rien. Les phalanges crispées, le cœur noué par cette amertume qu’il ne connaissait que trop bien, il était enfant sans nation, homme perdu à la déraison d’une solitude pourtant familière. Dernier garant d’une lignée dont il peinait à porter le fardeau, il contemplait ces tours d’infamies incapables d’assumer l’infini de leur création. Sans un bruit, au silence de l’inconnu, l’homme était devenu émoi. Infime particule de rien contemplant l’absolu, il maudissait ces êtres de granites, leurs circuits une malédiction pour les enfants de la création. Malgré tout, un empire de terreur, une peur de l’autre aveuglé par l’inconnu, l’homme ne pouvait s’empêcher de flirter avec le précipice, contempler les flammes. Comme autrefois, gamin, quand ses émotions le guidaient au bûcher. À la faveur de l’opalescente, la lune pour unique gardienne, le Kovacs savait pourtant que personne ne serait assez fou que pour le suivre hors du campement. Personne n’était assez lunatique que pour désirer contempler ces créatures immondes, abominations à l’allure pourtant tragiquement humaine. “Tu es une de ces boites de conserve?” Les mots s’échappèrent de sa trachée avant qu’il ne puisse prendre conscience de leur pleine signification. Elle, elle était éthérée. Brise de vent que le vent semblait ne pouvoir porter. Elle était inhumainement humaine, son visage éclairé par le pâle halo de la ville offrait à ses traits une ingénuité que l’homme n’avait imaginé. Que l’homme ne pouvait arraché à ses prunelles alors qu’il cherchait dans son apparence quelque chose d’horrifique. Observant l’abysse, elle le contemplait en retour, ses prunelles bien trop expressives pour n’être que le fruit de connexions électriques. Un instant, Elijah sembla s’y perdre, cette hargne délavant ses traits depuis sa sortie de la Ruche se muant en une incongruité qu’il ne pouvait admettre. L’image était parfaite, trop. De la courbe de ses lippes à l’angle de sa mâchoire. Plus il la contemplait, plus l’humain se perdait à sa merci, tombant douloureusement pour l’illusion de quelque chose de vrai, d’originel dans ce jardin d’Eden en décomposition. “C’est une manière peu conventionnel de décrire un androïde, mais en effet, j’en suis un.” Tout jusqu’à sa manière de mouvoir était le reflet d’une humanité consumée par son hubris. L’avidité humaine les forçant à se prendre pour des dieux à vouloir réparer l’imperfection de leur enveloppe quand celle-ci ne souffrait d’autres imperfections que celle de leur âme. Tendant un doigt vers la créature, c’était au feu de la déraison qu’il désirait s’y brûler. Désirait y perdre les doigts à convoiter voir derrière la surface, comprendre l’inhumain en y perdant sa propre humanité. Elijah était un être fait de silence et pourtant de tellement de besoins. Une nécessite primale lui rongeant l’encéphale alors qu’il lui avait fallu des années pour apprendre à respirer correctement, à lutter contre ses propres faiblesses. L’homme avait beau abhorrer la chose lui faisant face, il se laissait prendre par l’éclat que faisaient miroiter ses prunelles. Pourtant, d’un mouvement de la bête, cette dernière s’ébrouant face à l’inconnu, le Kovacs recula, perdant son équilibre au profit d’une chute peinant à soulever un organe déjà figé en sa cage thoracique. Avec un naturel déconcertant, certainement une énième ligne de code dans son programme, l’androïde rattrapa sans mal l’humain, sa main s’enroulant plus fortement que de raison autour de son poignet. “Ne me touche pas!” Le grondement explosa dans l’auditorium de son poitrail alors que le brun se retournait contre celle qui tentait vainement de l’aider. Incapable de lutter contre la bête grondant en son buste, il se défit difficilement de l’étreinte de l’autre alors que cette dernière l’observait avec une indifférence de glace. Levant la main, l’homme chercha à repousser l’autre, ses doigts s’arrêtant sur le derme trop parfait que pour être vrai, trop froid que pour renfermer quoi que ce soit. Le dégoût lui enserrant la trachée, il n’eut pas la force de faire trembler la jeune femme, ses mains impuissantes quand celle de l’androïde se nouait déjà autour de sa trachée. Lacérant vainement la prise de la démone, Elijah se débattait alors que l’air venait à manquer en son buste. Il sentait croître en lui des marées de glaces, s’éteindre en lui les feux de forêt de sa rage alors qu’il plantait ses prunelles dans celles douloureusement humaine de l’objet. “Vous êtes si... fragile?” Le Kovacs sentait les soleils noirs envahir sa vision alors que son cerveau se fendait de douleur face à la privation de l’oxygène lui étant vital. Les crocs serrés, le souffle absent, il contemplait celle qui, composée uniquement d’alliages et de branchements électriques, semblait éprouver une certaine tendresse face la créature si tragiquement vulnérable entre ses doigts. Libérant sa prise sur la trachée du brun, l’androïde le contempla s’écraser au sol comme un Icare s’étant brûlé les ailes. Sans un mot, elle l’observait haleter alors que pencher vers l’avant Elijah était pris d’un haut-le-coeur faisant trembler tout son être. Avant même d’avoir récupéré son souffle, sa vision encore troublée par cette expérience l’ayant fait frôler l’évanouissement, il se remit sur ses pieds. Fébrile, l’homme peinait à tenir sur ses jambes, il cracha aux pieds de l’androïde avant d’exhorter à sa gorge nouée un feulement : “Alors t’es pas capable d’aller jusqu’au bout? C’est un truc écrit dans ton programme de boite de conserve?” Ses poings tremblants élevés au niveau de son visage, le Kovacs n’était que bravade mal assumée, rage dégueulée à l’égard du monde et de ses enfants. Il était si simple de céder face à l’inconnu, prétendre l’affrontement pour ne plus jamais avoir à se battre. Il aurait été si simple de céder à sa poigne, découvrir l’éther de la créature et prétendre être élevé au rang de martyr. Quand bien même elle lui coupait le souffle, le vice s’invitant en ses iris trahissant l’effroi qu’il croyait y voir. La douceur de ses gestes qui dans leur violence témoignaient de ce qu’aucun des deux n’auraient pu dire. C’était dans l’horreur, l’inhumain que les deux se retrouvaient égaux. Lui et son silence. Elle et sa violence. Et si elle l’abandonna à la lune, l’incarnat de ses chrysanthèmes fleurissant le long de ses pommettes sans un bruit, sans un mot, il ne savait qu’elle était cet infini qu’il redécouvrait dans le ciel. Il n’avait que des doutes aux lèvres et une fleur fanée au fusil, rien que de la rouille et des regrets. |
| | |
Zelda AY-7117 DEVIANT | LOUP SOLITAIRE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 15:27 | |
| |
| | |
Nolan AY-9378 ANDROIDE | SYSTEME FONCTIONNEL
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 15:50 | |
| |
| | |
Baz Hirchner HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 15:52 | |
| BIENVENUE AMANDINE BON COURAGE A TOI AVEC LA FOLLE mais c'est bien que tu arrives comme ça elle aura un autre mec à violenter #victim |
| | |
Amren PL-2701 DEVIANT | CITOYEN LIBRE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 16:22 | |
| |
| | |
Maddie Zuckerberg HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 16:23 | |
| DANIEL!! bienvenue et bon courage pour ta fiche! |
| | |
Lyanna Marlowe LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 16:37 | |
| Cette trogne j'adore ! BIENVENUE ! |
| | |
Neith Bettencourt HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 16:39 | |
| |
| | |
Diana Windsor LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 18:21 | |
| AMANDIIIINE. bienvenue ici. bon courage pour le reste de ta fiche. il faudra qu'on se trouve un lien. |
| | |
Silas Orlov LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 18:44 | |
| bienvenue sur Deus ! j'ai déjà hâte d'en lire plus sur le perso sur ce, bon courage pour la suite |
| | |
Genya Starkov LA MAIN | DIRIGEANT
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 19:32 | |
| oooh ce personnage s'annonce très intéressant!! hâte d'en lire plus et de vous shipper avec zelda (même si une androïde, genya juge!) bienvenue par ici en tout cas!! |
| | |
Lawon VD-5916 ANDROIDE | SYSTEME FONCTIONNEL
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 20:40 | |
| Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche |
| | |
Astrid DT-7138 ANDROIDE | SYSTEME FONCTIONNEL
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Jeu 22 Nov - 21:59 | |
| bienvenue parmi nous. |
| | |
Elijah Kovacs LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Ven 23 Nov - 15:20 | |
| tbh, j'ai salement la flemme de répondre à tout le monde. mais je vous nem donc j'vais le faire (plot twist ) @zelda ay-7117 écoutez la dame, c'est la plus belle qu'elle est là donc on se pousse moi je dis on va souffrir, mais on va aimer ça sorry not sorry, j'prends mon temps m'zelle @nolan ay-9378 LIIIIIIIIIIIIIIIISE (cette accentuation du i pas du tout névrotique hein ) trop happy d'enfin être là à fond, nous faut un lien du tonnerre (aussi classe que the new jesus jvn ) @baz hirchner non, mais on est des victimes à deux hein, tu me laisses pas faire tout le boulot et m'en ramasser plein la gueule don't leave me with the crazy @amren pl-2701 ma porte t'es toujours ouverte idées ou pas, viens faire coucou merci pour les commentaires trop mignon @maddie zuckerberg eukay, avec ce name je suis intriguée à mort merci @lyanna marlowe merci @neith bettencourt cette classe j'ai rien à dire à part j'suis ko you slay as usual @diana windsor faudra clairement qu'on se trouve un lien (et que je me mette à répondre in a timely manner tmtc ) @silas orlov koukou boté merci, j'espère ne pas décevoir @genya starkov merci on juge pas par ici eukay gotta have an open body and an open soul ykwim @lawon vd-5916 merci @astrid dt-7138 merci |
| | |
Athenaïs d'Orléans HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Ven 23 Nov - 18:18 | |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! Encore un gueux de la main |
| | |
Azula Orlov HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , Ven 23 Nov - 20:52 | |
| |
| | |
| Re: I was born: made of gunpowder and exit wounds , | |
| |
| | | | I was born: made of gunpowder and exit wounds | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|