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No one ever told me that grief felt so like fear. (Lyanna & Cassiopée)


HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
Olaf Brekker
Olaf Brekker
HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
Identité : Lizelandre (Mina) Messages : 176 Points : 4481 Apparences : Sam Claflin Célébrations : Margot, gemini (av)
Personnage : RP | INFINI
Autres visages : aucun pour le moment, mais il parait que l'on peut TRES facilement me convaincre
Longévité : 33 années, les ridules apparaissent au coin des yeux, le poids de la pression sur les épaules.
Activités : (Chirurgien) Les doigts d'experts s'activent sur les corps en charpie. Il replace les os, recoud les peaux.
Sentiments : Le myocarde dans sa cage dorée. L'amour, un sentiment futile et rejeté. Le déni en carapace
Allégeance : A lui d'abord, ses propres intérêts. A sa famille ensuite qu'il ne veut décevoir. Aux leaders des humains ensuite, tout pour se faire respecter, admirer.
Localisation : Le Camp.
Opinions : Les humains sont supérieurs à ces machines de leur création. Les machines de guerre, des fléaux à détruire. Les androïdes, des robots à dompter. Les déviants, des énigmes qui le mettent mal à l'aise. Et puis il y a la Main, cette secte violente, dangereuse,, dévastatrice.
Relations : F A M I L Y
❥❥❥❥■■■■■■ ↓ Anyanka Brekker

S T R E N G T H

W E A K N E S S
❥❥■■■□□□□□ Genya Starkov



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No one ever told me that grief felt so like fear. (Lyanna & Cassiopée) , Lun 10 Déc - 17:12

Dans ce brouhaha, dans cette peur, un homme court. Sa perfection affichée a laissé place à un état tout débraillé. Ses vêtements sont déchirés et collent à sa peau. Il a de la terre sous les ongles, sur la peau qui se mélange au sang de ceux qu’il a tenté de sauver, souvent sans succès. En une journée funeste le chirurgien a vu plus de corps tuméfiés, éclatés et déchirés que dans toute sa carrière. Et ceux qui n’ont pas été tués par des coups, ou des balles, sont morts en chemin, tués par des machines, par la fatigue ou l’effroi. On dit que le regard des morts est si paisible, qu’ils ressemblent à des personnes qui se seraient simplement endormies en un sommeil éternel. C’est un mensonge. Les corps crispés par l’action ou la fuite, les corps bleuis par la neige, et ces yeux, des yeux où l’horreur peut encore se lire…

Dans cette cacophonie, dans cette angoisse, un homme cherche. Il cherche sa sœur perdue de vue pendant la longue marche, il cherche les Marlowe, les deux sœurs qui se sont faites une place dans son cœur, bien avant que l’oiseau prisonnier ne cesse de battre et se ferme à tout jamais à l’affection et la tendresse des autres. Il cherche son meilleur ami, un des seuls qui le comprend, qui le connaît, qui sait voir derrière le masque de froideur et qui ose remettre à sa place l’impétueux empli d’ambitions. Lyanna. Cassiopée. Daniel. Anyanka. Les noms s’entrechoquent dans ses pensées jusqu’à passer la barrière de ses lèvres violacées. Il en oublie le froid qui s’insinue en lui accompagnée qu’il est de la détresse. Le médecin n’a jamais eu aussi peur. Pour les siens, pour lui. Il n’ose penser à  Genya, se dit que de tous c’est sans doute celle qui s’en sortira le mieux. Peut-être même qu’elle s’amuse à se défendre, à attaquer. L’idée le répugne et il a tôt fait d’éloigner le visage de la brune du tourbillon qui agite son cerveau. Il a bien assez à faire avec les autres. Le voilà qui pousse les malheureux qui se trouvent sur son passage, qui retourne les corps sans vie ramenés. Tentant de ne pas songer que le cadavre d’un être aimé pourrait être resté coincé à jamais sur le chemin qu’ils ont emprunté, ou pire auprès des machines qui les ont trahis. Il oublie ses muscles tendus et les courbatures qui lui brûlent les os, il ne ressent pas même la coupure qui orne son avant-bras, tout est oublié à part les retrouver. Sains et saufs.

Et au milieu de cette foule, au milieu de sa terreur, Olaf trouve les sœurs Marlowe. Il voit leurs visages fatigués d’abord, et le sang sur les corps ensuite. Le soulagement fait place à l’affolement. Une minute de répit puis le temps s’accélère à nouveau, avec les battements de son myocarde. Il ne remarque pas qu’il manque la dernière branche du trio, il oublie pour quelques instants que sa sœur n’est pas là non plus. Il court jusqu’à ses amies, bouscule tout sur son passage, ne prend pas le temps de s'arrêter pour les blessé. Le médecin se bat avec l’homme, si elles sont blessées il fera tout pour les sauver. Il arrive jusqu’auprès d’elles enfin. Se retient de les prendre dans ses bras et de les serrer fort, lui qui n’aime pas ce genre d’effusion sentimental en ressent le besoin. Mais pas encore, pas tant qu’il ne s’est pas assuré que tout va bien. Qu’elles vont bien. « Vous êtes blessées ? Dites moi que vous n'avez rien. J'ai ma trousse de soin s'il le faut. » Sa manière à lui de s’enquérir de leur état, de se rassurer alors que les mots coulent à flots, froideur oubliée pour un temps.

« Tout ce sang... » Qu’il ajoute presque dans un état second. Olaf est hébété, Il est habitué pourtant, mais pas à voir le sang de ceux qui lui sont chers.

On ne s’habitue jamais à ça.
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LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
Lyanna Marlowe
Lyanna Marlowe
LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
Identité : bitterblue Messages : 284 Points : 4313 Apparences : Emilia Clarke (blonde daenerys) Célébrations : CARNAVAGE
Personnage : RP | INFINI
Autres visages : Briana Bettencourt, l'idéaliste
Longévité : 29 hivers sur cette Terre.
Activités : Médecin, Urgentiste, Chirurgien de guerre. Elle soigne les chairs abîmées, traumatisées...
Sentiments : Elle n'aime plus, ne ressent plus rien. Son coeur est de glace, elle se sent vide.
Allégeance : Depuis la déclaration de guerre, elle est liée aux cinq doigts de la Main.
Localisation : Camphumain, elle a fuit la ville pour survivre
Opinions : All Androids must die !
Relations : HUMANS
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ANDROIDS
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Re: No one ever told me that grief felt so like fear. (Lyanna & Cassiopée) , Lun 10 Déc - 23:52

CHAPITRE 1
« No sign of our help »



Les bruits d’explosions résonnent dans les rues. Je n’avais jamais connu la guerre. Je suis en pleine dedans. Mon regard s’attarde sur un corps sans vie. Pas n’importe lequel. Daniel gît dans le froid, sur le goudron gelé. Le sang recouvre son manteau… coule sur le sol blanchit. J’ai envie de vomir. Pourtant, on ne peut pas rester. Cassiopée me ramène à la réalité. Sa voix, ses cris, ses pleurs. Daniel ne s’en sortira pas, Daniel est déjà mort. Je déglutis, rien qu’à l’idée. L’horreur. Mes parents. Daniel… qui d’autre ? Qui va-t-on nous enlever encore ? Je vois alors des déviants avancer vers nous. On voit bouger, on doit partir, le plus vite possible. Je récupère l’arme de mon frère, je la tends à Cassiopée, j’ai déjà récupéré celle du type que j’ai essayé de sauver. Si on veut vivre, il va vouloir tuer. Seule condition.

On prend la fuite. Le mouvement n’est pas totalement clair. Les gens paniquent, comment fuir cette ville que l’on connait à peine ? C’est un véritable labyrinthe. J’attrape la main de ma petite sœur et je ne la lâche pas, je ne la lâcherais plus. Il faut quitter la ville, nous n’avons pas le choix. On ne peut pas rester ici, c’est trop risqué. On va se faire tuer, c’est tout ce qu’ils veulent, notre mort.

Je ne sais pas comment je fais, je ne sais pas tellement comment j’y arrive. L’instinct semble être plus fort que tout. On sort petit à petit de la ville. Le feu est derrière nous. Le froid nous assaillit violemment. Comme une tempête qui nous attend au tournant à la frontière de la civilisation. Le plus dur c’est de se repérer. Il fait nuit, certains ont pensé à des lampes torches, ce n’est pas notre cas. Nous évoluons dans le noir, on se laisse guider à l’ouïe, à la vue des lampes qui clignotent. Les gens nous guident. On ne sait pas où est-ce que l’on va, ce qui va nous arriver. Et s’ils nous poursuivaient ? Et si la guerre n’était pas terminée ? L’horreur n’est pas loin, juste tout autour de nous, prête à nous envahir. Que va-t-il rester de l’humanité au levé du soleil.

Je ne sais pas exactement combien de temps cela nous prend. Cela ne semble pas si long, mon cerveau carbure à 1000 km/h. Je suis dopée à l’adrénaline. La meilleure drogue, capable de vous faire courir un marathon sans le moindre entraînement. Et c’est effectivement ce qui vient de se passer pour moi. On retrouve un groupement d’humain qui refusait de vivre en ville. Ils avaient sans doute raison. Je ne peux m’empêcher de penser qu’on a espéré cette paix trop vite. Elle n’était pas possible, pas envisageable. Les androïdes ne sont que des machines, comment pourraient-ils être civilisés ?

Les gens sont choqués. Les habitants des ruines où nous trouvons refuge viennent en aide aux nouveaux colocataires. Des gens crient, des gens pleurent. La panique règne en maître. Je n’ai pas lâché la main de Cassie. Je cherche des visages familiers. Je tourne mon visage, mon regard dans tous les sens. Ma première pensée va à Olaf… pour vu qu’il ne lui soit rien arrivé. Mon cœur bat si vite… si vite que je n’entends qu’un brouhaha en fond sonore des battements qui tambourinent dans ma poitrine. J’ai l’impression de me réveiller lorsqu’il apparait dans mon champ de vision. Comme si les événements précédents n’étaient qu’un rêve. Un sale cauchemar.

Olaf accourt jusqu’à nous. Nous n’avons pas prononcé un seul mot Cassiopée et moi. Muette, prostrée dans le mutisme. Olaf nous demande si on va bien, si nous n’avons rien. Ma bouche est affreusement sèche. Ma gorge nouée. J’arrive à hocher la tête, je cherche de l’air, j’ai l’impression que l’oxygène ne passe plus dans mes poumons. « - Ca va… » Je regarde derrière lui sans voir sa petite sœur, Anya. Je la cherche du regard sans la voir pour le moment. Olaf constate le sang qui recouvre mon manteau. Je cherche mes mots… Je balbutie. « - Je… Je… Ce n’est pas le mien… » Des larmes montent. Je me tourne, je Le cherche mais je sais parfaitement qu’il ne viendra pas, qu’il n’est pas là, ne sera plus jamais là. Je regarde Cassie. « - Daniel… » Je l’ai laissé. Olaf a parlé de sa trousse d’urgence. « - Tu as ta trousse, Daniel est blessé, il est là-bas, je… Je n’ai rien plus faire… Il me la faut, je vais aller l’aider, il faut que j’aille l’aider ! » Je presse Olaf, je cherche sa trousse, une démence, une réaction logique mais incohérente. Je suis prête à repartir sur le champ de bataille, je pars au front s’il le faut, je veux ramener Daniel.

@Olaf Brekker
@Cassiopée Marlowe

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HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
Cassiopée Marlowe
Cassiopée Marlowe
HUMAIN | CITOYEN DE LA RUCHE
Identité : Marie Messages : 42 Points : 4116 Apparences : Odeya Rush Célébrations : HOODWINK ; SIAL
Personnage : RP | INFINI
Longévité : Vingt-quatre étoiles
Activités : Exploratrice
Sentiments : Le lit froid, les pensées tourmentées, elle n'a pas le coeur ni la tête à s'attacher.
Allégeance : Sa famille avant tout. Depuis la mort de son frère et de ses parents, la Main l'attire doucement pour la piéger dans sa toile.
Localisation : Camp humain
Opinions : La paix n'est pas une douce utopie. Cassie veut encore y croire et sa curiosité la pousse à vouloir en découvrir plus sur les androïdes...
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Re: No one ever told me that grief felt so like fear. (Lyanna & Cassiopée) , Mer 12 Déc - 15:44

NO ONE EVER TOLD ME THAT GRIEF FELT SO LIKE FEAR
Olaf & Lyanna & Cassiopée


Ils fuyaient. Tous. Le danger rôdait à chaque coin de rue et il était temps qu’ils parviennent à sortir de cette souricière. Alors Cassiopée suivait son frère et sa sœur. La peur lui tordait le ventre et l’adrénaline la faisait courir plus vite qu’elle ne le pensait possible. Puis les évènements s’enchaînèrent sans qu’elle ait le temps de comprendre ce qui se passait. Une androïde, un coup de feu, le corps de Daniel tombant sur le sol enneigé. Un cri, son cri qui résonnait à ses oreilles alors qu’elle se précipitait sur son frère, oubliant le danger.  Ses mains se posèrent sur les joues encore chaudes de Daniel alors que Cassiopée le suppliait de se relever. Il ne pouvait pas être parti, pas lui. Pas encore.

Lyanna la ramena à la réalité, lui refourguant une arme entre les mains et l’obligeant à la suivre. Elles pouvaient finir comme Daniel ou bien vivre. L’instinct de survie prit le dessus et Cassiopée tenta de suivre sa sœur, une main dans la sienne, alors que sa vision était troublée par les larmes. Cassie n’avait aucune idée de la direction qu’elles prenaient et elles pouvaient très bien tomber face à de nouveaux androïdes nombreux et armés. Mais elles finissent par franchir les limites de la ville, suivant d’autres personnes équipées de lampe torche. Le froid cinglait leurs joues mais Cassiopée ne le sentait pas. Son cœur battait à tout rompre après leur course et Cassiopée ne pouvait s’empêcher de se retourner pour vérifier que leur petit groupe n’était pas suivi. Ils étaient complètement à découvert et cela aurait été un jeu d’enfant que de finir le travail. Mais rien ne se passa.

Elles finirent par rejoindre un campement, des humains ayant refusé de vivre parmi les androïdes. Ces derniers n’étaient pas dignes de confiance selon eux. L’Histoire leur donnait raison. Jamais Cassiopée n’aurait pu prévoir un tel scénario, elle se rappelait encore de leur arrivée. Ils avaient été accueillis, sans animosité. Pourquoi leur permettre de s’installer parmi eux pour ensuite les anéantir ?

Cassiopée serra un peu plus fort la main de Lyanna alors qu’elles avançaient parmi d’autres réfugiés aux visages hagards. Cassiopée entend des cris, des gens qui appellent leurs proches. « Daniel… » Ce n’est même pas un murmure, ses lèvres ont simplement remué comme par réflexe, sans un bruit. Elle aussi a envie de crier, d’appeler son frère. Elle a envie d’entendre sa voix lui répondre, lui crier qu’il est là, qu’il s’en est sorti. L’horreur de la scène se superpose à ses espoirs, les anéantissant. Daniel ne sera pas là, il n’arrivera pas dans quelques minutes. Cassiopée leva les yeux lorsqu’une silhouette s’approcha d’elles. Olaf. Il faisait un peu partie de la famille, lui et sa sœur. Cassie regarda autour d’elle, cherchant Anya. Mais celle-ci semblait absente. Cassiopée mit quelques secondes à comprendre qu’Olaf s’inquiétait pour elles. La jeune femme ne prononça pas un mot, laissant sa sœur répondre. Sa gorge était totalement nouée.

Quand Lyanna expliqua que ce n’était pas son sang, les larmes affluèrent à nouveau et Cassiopée parvint difficilement à les retenir. Elle sentit une douleur de plus en plus insupportable envahir sa poitrine. Elle allait poser une main contre sa poitrine quand elle la vit recouverte de sang, celui de son frère. Les larmes débordèrent alors qu’elle comprit que sa sœur voulait une trousse de secours pour sauver son frère. C’était la goutte qui fit déborder le vase. Elle attrapa le bras de Lyanna et planta ses yeux dans ceux de sa sœur. « Il est mort…Lyanna. J’ai vu…ses yeux… » Sa voix était cassée et ses paroles entrecoupées de sanglot. « Elle…l’a…tué. » Cassiopée avait l’impression d’entendre encore la détonation de l’arme et le bruit sourd du corps de son frère sur le sol. Cassiopée se tourna vers Olaf, comme pour le supplier de raisonner Lyanna, de ne pas la laisser repartir. Cassie refusait de perdre un autre membre de sa famille ce soir.
(c) DΛNDELION
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