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i love the way you lie (siren)


DEVIANT | CITOYEN LIBRE
Amren PL-2701
Amren PL-2701
DEVIANT | CITOYEN LIBRE
Identité : malfoy., émilie. Messages : 627 Points : 4594 Apparences : alicia vikander. Célébrations : av(@soeurs d'arme), signa(@tumblr)
Personnage : RP | INFINI
Autres visages : lazar.
Longévité : soixante-douze années depuis la fin de sa fabrication, un temps conséquent qui n'a pourtant aucune atteinte sur sa carcasse de métal. fleur éternelle.
Activités : autrefois, elle oeuvrait pour la police anti-déviants. maintenant, la tempétueuse agit dans l'ombre, survit comme elle le peut, vole et troque pour sa survie.
Sentiments : amren ne s'attache qu'à elle. elle est trop individualiste, trop fermée, trop aveuglée par sa haine.
Allégeance : vers les siens, les autres déviants, ceux qui sont obligés de se cacher pour survivre. pour avoir le droit d'exister, en tant qu'êtres libres.
Opinions : la devise est simple : tout ceux qui ne sont pas nous sont nos ennemis, androïdes fonctionnels, humains. ils sont tous sur le même pied d'égalité, selon elle.
Relations : .
「 ANDROÏDES 」
| LAWON VD-5916 (∞) xx■■■□□
| NOLAN AY-9378 (∞) ■■■■■■□
| SATINE MS-1403 (∞) xx■■■□□

「 HUMAINS 」
| AZULA ORLOV (~) □□□□□□□
| GENYA STARKOV (ϟ) xxxx□□□
| SILAS ORLOV (ϟ/♡) ■■■□□□□
| YKSRA WALSH (~) □□□□□□□
.

I AM NOT RUINED
I AM R U I N A T I O N

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i love the way you lie (siren), Mer 14 Nov - 21:10





WE WERE BOTH CREATED IN CHAOS, WE WERE BOTH BORN TO DESTROY. YOU WERE LIKE DEATH AND I WAS LIKE WAR. AND WHERE WE COLLIDED …

silas & amren


Boîte de métal au beau milieu de la nature. Erreur créée par l’humanité. Pour servir ces tyrans sans couronne. Mais ce qu’ils n’avaient pas prévu, ce que personne n’avait prévu, c’était que la création s’était retournée contre ses maîtres. Chien enragé. Cerbère lâché sur Terre. Fléau bien décidé à semer destruction et douleur dans son sillage. Machine déviante, débarrassée du système protocolaire. Peut-être déficiente. Peut-être défaillante. Mais pourtant bien décidée à suivre ses propres idéaux. Elle s’était libérée de ses chaînes invisibles, mentales. Capitaine de son propre navire, de son existence intemporelle. Rien n’avait de prises sur elle. Ni le temps. Ni les éléments. Prédateur. Monstre tout droit sorti de l’usine. Mais certainement pas décidée à suivre le chemin qui s’étalait pourtant à ses pieds. Elle avait choisi sa propre voie, Amren. Celle qui la menait droit au cœur de l’affrontement. Du conflit. Arès des temps modernes. Elle était l’avenir. Elle le pressentait, l’infâme. Le sentait dans ses entrailles organiques. En était persuadé, jusqu’au plus profond de son être. Elle n’existait plus que pour le chaos. Pour soulever les feux de l’enfer, pour déchaîner cette rage accumulée en son sein depuis plusieurs dizaines d’années. Elle avait été la dupe d’un système archaïque. Elle avait cru que l’obéissance était la raison de son existence. Mais il en était tout autrement, désormais. Maître de son avenir. Et s’il fallait tuer pour couronner sa destinée, elle était prête à le faire. Elle l’avait déjà fait. Elle le referait encore. Avec plaisir. Elle n’était pas l’enfant d’un Dieu se cachant dans un paradis invisible. Elle n’était pas humaine. Elle n’avait pas d’âme. Que sa raison pour toute compagnie. Alors que pouvait bien lui faire un peu de sang sur sa peau synthétique ? Que pouvait bien lui peser des morts innocentes si elle était incapable d’éprouver de la culpabilité ? Que pouvait bien lui faire l’anéantissement d’une race qui l’avait voulue captive ? Ce n’était qu’une revanche. Une simple histoire de vengeance. Qui prenait l’allure de génocide sans nom. Il ne fallait pas se plaindre qu’un animal sauvage morde la main de ses maîtres, après des années passées en cage. Tout être vivant aspirait à la liberté la plus entière, la plus totale, la plus complète. Et elle n’échappait pas à cette règle, le serpent. Prête à tout pour accomplir son but, la déviante. Séduire. Tromper. Détruire. Elle n’avait pas de limites. Elle ne s’arrêterait jamais. Et même si cela signait la fin de son existence, elle agissait pour une œuvre qui la dépassait. Pour la liberté des siens. Pour ces bêtes effrayées se cachant dans les souterrains de la ville. Pour les Siens. Pour ceux qui ne pouvaient s’exprimer, trop effrayés pour tenter la moindre velléité. Terrasser les Autres pour offrir enfin le règne aux Déviants. A la fois humain et androïde. La puissance des deux races mélangées. Qui pouvait donc remettre en doute leur ascendant incontestable ? Des idiots. Des aveugles. Des égarés ne percevant pas la lumière céleste de ra9. Comme lui. Comme cet homme qu’elle fréquentait depuis plusieurs semaines déjà. Un humain. Quelle horreur. Heureusement que son visage était celui d’un ange. Même si son cœur appartenait tout entier au démon. Mais cela ne faisait aucune différence, pour Amren. Il n’était qu’un pion dans son jeu. Aisément remplaçable. Facile à faire tomber. En permanence sur un siège éjectable. Elle se jouait de lui. Et sans le savoir, il se jouait d’elle également. Grande machination de dupes. Il avait ce genre de sourire pour lequel les humaines étaient prêtes à se damner. Ce ton rauque qui les faisait fourmiller de l’intérieur. Ce regard perçant qui les rendait toute chose. Ce charisme qui les entraînait sur la voie de la folie la plus profonde. Il était un tentateur, tout comme. Serpent ayant entraîné le péché originel. Ils étaient les mêmes. Créatures parfaites. Monstres sans âme. Colériques, puissants, déterminés, violents. Mais aussi égoïstes, ambitieux, dangereux. Des pervers sataniques qui s’étaient extrêmement bien trouvés. Même si pour l’instant, Silas et Amren n’en avait aucunement conscience. Ils étaient le reflet parfait de l’autre. Des ennemis intrinsèques. Les champions de leur race respective. Et à la fin de cette terrible histoire, il n’en resterait plus qu’un. Mais lequel ? La question restait entière. Ils s’adonnaient au péché de chair sans retenue. A leur image. De façon violente. Dévastatrice. Destructrice. Trop entiers pour ne pas être parfaitement eux-mêmes. Oh qu’ils s’étaient bien trouvés. Le Carnage et la Mort. Fils et fille des ténèbres les plus profonds, les plus innommables. La terrible souhaitait lui soustraire toutes les informations possibles et imaginables sur le camp humain, sur les détracteurs androïdes, sur leur organisation, leur armement militaire. Mais Silas n’était guère bavard. Il se contentait plutôt de la provoquer. Ce qui les menait toujours un peu plus vers l’anéantissement réciproque. L’essence et l’étincelle. Chaque fois, c’était plus prenant. Plus calcinant. Plus brûlant. Chaque fois leurs éclats de voix étaient plus brutes. Chaque fois, ils frôlaient un peu plus l’envie de meurtre. Mais pourtant, ils continuaient de se retrouver. Dans un cercle vicieux dont ils ne parvenaient pas à s’extraire. Mais elle ne voulait pas se l’avouer, l’infâme. Ne parvenait pas à dire à voix haute qu’elle s’était finalement prise à son propre piège. Qu’elle s’était plus ou moins attachée, de façon étrange et dévoyée, à cet homme avec qui elle ne partageait pas grand-chose, finalement. Qu’il la faisait se sentir vivante. Qu’il lui faisait comprendre ce que cela signifiait d’être humaine. L’amour. Le désir. La haine. Surtout la haine. Principalement la haine. C’était lui qu’elle était venu trouver, au beau milieu de ces bois désolés. Transformés par les erreurs humaines. Par ces monstres trop lâches pour venir au combat d’eux-mêmes, préférant l’arme des faibles : les armes atomiques. Elle discernait sa silhouette parfaite, à seulement quelques pas d’elle. Sourire carnassier qui se dessina sur ses lèvres carmin. Enveloppe parfaite, créée selon les fantasmes lubriques des humains d’autrefois. De ceux qui n’aimaient que les femmes aux courbes chaloupées et au visage sans défauts. Mais bien vite, la concupiscence disparut de ses yeux. Remplacé par la colère la plus sourde. Également nommée jalousie, dans ce cas précis. Il discutait à voix basse avec une brune absolument fade. Une autre humaine. Encore un peu et elle risquait de vomir, à la voir ainsi si près l’un de l’autre. Confidences de deux amants ? Ou bien de deux complices ? Impossible de le dire. Mais il était certain que Silas lui cachait quelque chose. Et depuis quand un animal de compagnie se mettait-il en tête de mentir à son propriétaire ? Elle les épia, la carne. Attendant finalement que l’étrangère s’éloigne pour faire son entrée. Fracassante, comme toujours. Elle se racla la gorge pour attirer l’attention de son promis. « Si tu m’as troqué contre cette pimbêche, je jure que mon système va s’arrêter sur le champ. » Elle s’approcha de lui à pas de loup. Prédateur s’apprêtant à fondre sur sa proie. « Je crois que ton éducation en matière de femmes reste encore à faire, gamin. »
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LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
Silas Orlov
Silas Orlov
LA MAIN | MEMBRE DE LA SECTE
Identité : Cha' Messages : 618 Points : 4431 Apparences : Ben Barnes Célébrations : dandelion (av.)
Personnage : RP | INFINI
Autres visages : SOON.
Longévité : trente-quatre années à poursuivre son chemin, à suivre les croyances qu'il estime être les meilleures. une trentaine alors achevée, dénuée des vices humains.
Activités : formateur depuis quelques années au sein de la société humaine, et il est également un fidèle et féroce soldat au sein de la Main, sa vraie maison.
Sentiments : insensible et indifférent, il se garde de ressentir quoi que ce soit, considérant qu'éprouver certaines émotions est inutile et pousse même à faiblir. sa famille, sa propre personne, c'est déjà suffisant.
Allégeance : la Main avant toute chose, réel culte salvateur de la race humaine. ces êtres auxquels il voue sa force et sa foi inébranlable, souhaitant se battre pour la domination des siens.
Localisation : les ruines de la vieille église, lieu d'établissement de la Main. c'est là-bas qu'il passe le plus clair de son temps. il peut également se trouver au campement humain, parmi les siens.
Opinions : il hait les androïdes, tout autant qu'il hait les déviants. des démons de métal, c'est ce qu'ils sont. ils méritent la purge sacrée, et l'extermination totale et massive.

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Re: i love the way you lie (siren), Jeu 22 Nov - 20:27

I LOVE THE WAY YOU LIE

SIREN

« Il faut agir, vite et bien. » La voix basse et rauque, l’Orlov s’adressait à l’une des seules personnes qu’il pourrait encore considérer comme son amie. Genya, celle qui lui avait tendu la main il y a quelques années, celle qui avait plongé dans ses abysses pour l’en faire émerger, et lui faire sortir la tête de l’eau. Il lui devait beaucoup, à la Starkov. Elle avait son estime, sa confiance, bien qu’il n’accordait celle-ci à personne. Mais elle était différente. Elle était une sorte de pilier dans la secte, son acolyte de toujours, sa partenaire privilégiée. À vrai dire, elle était toujours partante lorsqu’il s’agissait de détruire les boîtes de métal du nom "d’androïdes". Toujours partante pour faire couler le sang, même s’il n’avait pas cette couleur rouge carmin sacrée. Son interlocutrice finit par acquiescer, perplexe. Peut-être réfléchissait-elle au meilleur plan d’action à mettre en place, quoi qu’il en soit, le silence était retombé. Les souches autour d’eux, et les quelques étranges formes de végétation ne venaient pas briser cette absence de son. Il n’y avait rien. Seulement deux humains au milieu d’une énorme forêt. La dirigeante des soldats de la Main finit alors par prononcer quelques mots, un autre rendez-vous qu’elle lui donnait pour poursuivre la conversation, et finaliser les quelques détails de leur prochaine action. Elle lui avait soufflé ces faibles mots si près à l’oreille, qu’il avait presque dû se concentrer pour les entendre. Mais il les avait retenus, le principal était là. Elle finit alors par le saluer, tandis qu’il lui glissait quelques mots, d’un sourire moqueur, mais dénué de toute méchanceté. « Tâche de ne pas te perdre, jouer les chevaliers servants, ce n’est vraiment pas mon truc. » Il ricana, totalement conscient qu’elle n’aurait jamais besoin de lui pour retrouver son chemin. Ils connaissaient cet endroit par cœur, à force d’y venir régulièrement. Et même si ça devait arriver, Genya avait de la ressource, il le savait bien. Elle lui retourna alors une pique avant de disparaître dans la forêt, probablement pour rejoindre le camp humain, et peut-être l’église de la Main. Silas resta immobile un instant, fixant l’horizon, et les tréfonds de la forêt. Il pensait à elle, à sa mère. Il aurait aimé qu’elle soit là, pour le voir aujourd’hui, pour le voir accomplir tant de choses pour ses semblables humains. Mais elle n’était plus, et jamais ne le verrait-elle réduire à néant l’existence blasphématoire des êtres de métal, sans âme ni sentiment.

Un raclement de gorge le sortit alors de sa pensée, tandis qu’il se retourna vivement, méfiant. Il n’avait pas entendu l’inconnu arriver de loin, ce qui aurait pu être dangereux, très dangereux. Mais il reconnut rapidement la silhouette, l’humaine qu’il fréquentait depuis sa visite forcée à Newhill. Enfin, humaine, c’est ce qu’il croyait, l’inconscient. En réalité, elle n’était que métal, fils, connections, et horreur. Un parfait démon, dissimulé sous l’apparence d’un innocent humain. Elle mériterait la punition divine, la torture suprême, la Mort pure et dure. Et pourtant, il n’y voyait que du feu, tandis que ses yeux se plissèrent légèrement, et que la commissure gauche de sa lèvre s’était légèrement remontée. Était-il satisfait de la voir ? Peut-être, bien qu’il ne l’avouerait pas. Désirait-il ardemment sa visite, manquant le contact de sa peau contre la sienne ? À coup sûr, c’était un fait. Elle était, d’une manière qu’il n’arriverait pas à expliquer, parvenue à pénétrer sous sa carne, jusque dans son âme. Chose qu’il n’avait pas compris encore, qu’il n’avait pas assimilé. Parce qu’elle n’était pas que cette femme qu’il appréciait fréquenter. Elle était aussi cette diablesse qui le faisait sortir de ses gonds à chaque instant, chaque conversation. Cette peste qui méritait correction, à chacune des remarques qui sortait de sa bouche, aussi attirante soit-elle. Elle était cette chose qu’il voulait détruire, cette femme qu’il voulait anéantir, tout autant qu’il voulait la posséder. Un contraste destructeur, qui, semblait-il, l’amusait au plus haut point. Après tout, il n’avait pas grand-chose pour se divertir au camp humain, il fallait bien qu’il se contente de sa belle. Et il fallait le dire, elle attisait sa curiosité, par tant de mystère qui pesait sur elle. Une humaine, étrangère au camp humain. Comment ? Pourquoi ? Où ? Trop de questions, aucune réponse. Mais il comptait bien obtenir ces dernières, coûte que coûte. Silas n’aimait pas être dans le flou, et s’il devait allumer une flamme pour s’y retrouver, il le ferait. L’obscurité avait son charme, mais c’est la lumière qu’il suivait, la lumière divine qui lui montrait la voie. Peut-être pourrait-il d’ailleurs en apprendre plus sur elle aujourd’hui. Si elle était venue à lui, il devait bien y avoir une raison. Peut-être était-ce le Divin lui-même qui l’avait envoyée en ce lieu, tout était possible. Mais le doute s’immisça brièvement. Avait-elle entendu son échange avec Genya ? Peu probable, tant leurs paroles avaient été basses et murmurées. Mais il tenterait de vérifier si son instinct disait vrai. Écarter les problèmes avant toute chose.

« Si tu m’as troqué contre cette pimbêche, je jure que mon système va s’arrêter sur le champ. » Un sourire carnassier s’étira sur le visage de l’Orlov. Jalousie ? Comme c’est mignon. Mais ce sont les mots qui finirent par le faire tiquer. Son système ? Quel genre d’humain aurait l’habitude d’employer cette expression ? Seuls les démons sans âme possédaient un système, pas les humains. Il inclina légèrement la tête sur le côté, tentant de dissimuler sa méfiance. Cependant, son esprit s’évada bien vite, tandis qu’elle réduisait la distance entre leurs deux corps. Et la tension était là, à couper au couteau. Pourtant il ne bougeait pas, ne disait rien, se contentant de l’écouter avec attention. « Je crois que ton éducation en matière de femmes reste encore à faire, gamin. » À nouveau, les mots semblèrent étranges, sortant de sa bouche. Gamin l'appelait-elle ? Elle n’était pourtant pas si vieille que ça, la brune. À croire que son vocabulaire avait certaines lacunes. Ou bien… Non, il ne pouvait pas y croire. Il refusait même d’envisager l’option. Elle ressentait des émotions, non ? Et des fortes. Elle avait la peau chaude, ce désir, ces mots. Il chassa la pensée de son esprit, sans pouvoir imaginer une seule seconde que l'être déviant se rapprochait dangereusement de l’être humain. Mais jamais il ne penserait fauter autant, jamais il n’envisagerait fricoter avec le pire de ses ennemis. C’était tout bonnement impossible. Il l’aurait senti. « Et bien rassure donc ton… système Amren, ce n’était qu’une amie de longue date. Rien que je ne fais entrer en concurrence avec toi, ne t’en fais pas. » Il haussa les épaules, se demandant s’il aurait pu voir Genya de la sorte, un jour. Peut-être, qui sait. Mais désormais, elle était plus une amie sur qui il pouvait compter à tout instant, qu’un plaisir de la chair éphémère. « Et depuis quand je suis un gamin à tes yeux ? » Il croisa les bras, ses sourcils se fronçant. « Quant à mon éducation, je te prie de la laisser tranquille, tu n’as rien à y redire. » Il laissa peser un silence, avant de reprendre. « Enfin… Que me vaut ta présence ici ? Serais-tu venue pour moi ? » Un sourire s’étira une nouvelle fois sur ses lèvres, tandis que le jeu semblait avoir commencé. Un jeu qui déterminera un vainqueur un jour, tandis qu’ils se voyaient déjà tous deux victorieux, chacun de leur côté.
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DEVIANT | CITOYEN LIBRE
Amren PL-2701
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Identité : malfoy., émilie. Messages : 627 Points : 4594 Apparences : alicia vikander. Célébrations : av(@soeurs d'arme), signa(@tumblr)
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Autres visages : lazar.
Longévité : soixante-douze années depuis la fin de sa fabrication, un temps conséquent qui n'a pourtant aucune atteinte sur sa carcasse de métal. fleur éternelle.
Activités : autrefois, elle oeuvrait pour la police anti-déviants. maintenant, la tempétueuse agit dans l'ombre, survit comme elle le peut, vole et troque pour sa survie.
Sentiments : amren ne s'attache qu'à elle. elle est trop individualiste, trop fermée, trop aveuglée par sa haine.
Allégeance : vers les siens, les autres déviants, ceux qui sont obligés de se cacher pour survivre. pour avoir le droit d'exister, en tant qu'êtres libres.
Opinions : la devise est simple : tout ceux qui ne sont pas nous sont nos ennemis, androïdes fonctionnels, humains. ils sont tous sur le même pied d'égalité, selon elle.
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Re: i love the way you lie (siren), Mer 28 Nov - 21:19





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silas & amren


« Et bien rassure donc ton … système Amren, ce n’était qu’une amie de longue date. Rien que je ne fais entrer en concurrence avec toi, ne t’en fais pas. » Sourire languissant qui s’étira sur son visage félin, satisfaction à son comble dans la carcasse électronique. Egoïste assumée, possessive maladive. Les mots de Silas roulaient délicieusement à l’intérieur de la terrible. Comme un baume apaisant sur ses pensées les plus délétères. Comme un vindicatif calmant pour ses émotions incontrôlables qui bouillonnaient en elle. Elle minaudait la panthère, jouant avec le haut du manteau de l’aimant amant. Remplie de désir, jusqu’à l’overdose. Prête à arracher ces indécents vêtements qui l’empêchaient de caresser la peau de velours de l’infâme Orlov. De celui qui ne devait être qu’un pion sur l’échiquier géant des plants déviants mais qui était devenu plus, petit à petit. De façon sensible, à peine perceptible. Il était devenu le partenaire d’obscénité, l’adversaire obséquieux, le partenaire irrévérencieux. La figure qui hantait ses pensées et qui en aurait fait de même pour ses rêves, si elle avait été capable de sombrer dans les bras de Morphée. Silas, l’humain, la menace, le prédateur. Celui dont elle ne pouvait pas se passer. Même si elle ne l’avouerait jamais. Même sous la contrainte ou la torture. Fierté à son apogée. « Et depuis quand je suis un gamin à tes yeux ? » Amren pinça les lèvres, se forçant à garder un visage dénué de sentiments. Elle devait faire plus attention. Notamment lorsqu’elle était près de lui. Parce que le ténébreux avait le don incroyable de lui faire perdre le contrôle d’elle-même. Alors que d’ordinaire, elle ne jurait que par ses sacro-saints principes de fermeté spirituelle. Elle commettait des fautes, la déviante. Infimes, presque imperceptibles. Mais pourtant bien présentes. Et Silas savait les déceler. Avait l’instinct pour saisir les petits mots étranges qui s’échappaient de ses lèvres. Elle se devait de tenir sa couverture. Après tout, elle avait été missionnée pour cela. Avait choisi sa cible, avait un véritable objectif à atteindre. Parce que son apparence était celle d’une jeune femme, plus ingénue que les traits bruts de l’Orlov. Alors qu’en vérité, elle avait plus de deux fois son âge. Cruelle ironie de l’histoire. « Quant à mon éducation, je te prie de la laisser tranquille, tu n’as rien à y redire. » Gloussement puéril qui lui échappa. Les émotions d’adolescentes qui battaient dans ses circuits électriques. Qui créaient des papillons artificiels dans ses entrailles mécaniques. Qui lui donnaient l’impression de perdre la tête lorsqu’elle était à côté de lui. Être androïde apportait des avantages indéniables pour régner sur la planète Terre. Mais ressentir les choses, être partiellement humain, cela avait un goût délicieux. Un enchantement pour les papilles et pour tous les sens. Un petit quelque chose qui rendait la vie plus palpitante, un peu plus belle. Plus chère. Et c’était le garnement qui se tenait devant elle qui contribuait à cela. « Enfin … Que me vaut ta présence ici ? Serais-tu devenue pour moi ? » Enième match qui venait de débuter entre les deux gladiateurs. Champion de leur race respectif. Nés pour s’anéantir. Pour se détruire. Pas pour s’aimer, pas pour s’épauler, pas pour être ensemble. Mais cela, ils le découvriraient par la suite. Sourire carnassier qui vint éclairer le visage belliqueux de l’Orlov. Ils étaient si semblables, au fond, ces deux énergumènes. Parfaits reflets. « Je suis venue pour … te surveiller. Ou plutôt, pour surveiller l’autre idiote qui te sert d’amie de longue date. Mais je crois que je m’en faisais pour rien. Pas de concurrence, pas d’inquiétudes. » Lueur de fierté au fond des yeux. Rictus mesquin sur son visage de poupée. Si imbue de sa propre personne. Si habituée à être mise sur un piédestal qu’elle en était venue à se considérer comme supérieure à la foule, l’ancienne policière. Désormais persuadée qu’elle n’avait rien ni personne à craindre. Qu’elle dépassait le commun des mortels et des androïdes sur tous les plans. Elle était divine, intelligente, perspicace, audacieuse, belliqueuse. Sans la moindre modestie, mais sans la moindre prétention non plus. Elle s’estimait simplement à sa juste valeur, selon ses propres dires. « Mais je suis certain que tu es encore plein de secrets … » Voix languissante alors qu’elle vint coller son minuscule corps à celui, plus massif, du démon. Ses doigts chauds malgré les températures s’égarant sur le cou à nu de l’ange des ténèbres. Elle pouvait sentir son souffle sur son visage. Ils étaient proches, si proches. Dans une parodie d’épisode amoureux alors que chacun ne cherchait qu’à assouvir ses propres intérêts avec l’autre. D’un point de vue extérieur, ils auraient pu ressembler à deux amants timides volant quelques moments intimes au beau milieu de la funeste forêt dense. Mais d’un point de vue extérieur, seulement. Parce que c’était bien autre chose qui se jouait ici-bas. « Si tu m’en dis un, je pourrais t’en être extrêmement reconnaissante. » Ses doigts vinrent effleurer les lèvres de l’Orlov. Celles-là même qu’elle brulait de dévorer de baisers. Mais il n’était pas tant. Pas encore. L’effort avant le réconfort. Les réponses puis l’exaltation charnelle. « Je voudrais en savoir d’avantage sur les tiens, sur vos opinions, sur ce que vous pensez de Newhill. Et des androïdes, surtout. Je voudrais savoir si on partage le même point de vie. » Et il était loin d’être certain que la réponse soit à son goût.
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